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Publication 2020

Sous le signe de l'élément EAU cette fois ci, voici le 2ème volet de mes poèmes. 

Mots de Coffre 2

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Existe en fomat papier et format Kindle. 

BONNE DECOUVERTE !!

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A venir :

 

 

 

- UN CHAPEAU en HERITAGE

extrait :

 

Prologue

 

                                                                                                                         Quelque part dans le Monde.

 

 

            Un homme attend.

 

            Seul ; dans une plaine ocre grillant sous la chaleur écrasante de ce coin de Terre.

            L’encolure de sa monture s’agite nerveusement, agacée, chassant les mouches désagréables grignotant son cuir brûlé.

            A l’abri d’un chapeau tanné, l’homme scrute l’horizon. Le soleil rase la terre roussie, brûlant ses rétines comme la blanche neige de pays lointains. Il observe, attentif, les vapeurs floues émanant du sol, telles des flammes transparentes au-dessus d’un feu, altérant la réalité. Que cachent-elles… ?

            Il l’attend.

 

            Une poignée de minutes se dessèchent. Le cliquetis du harnais se suspend, le cheval aux aguets. On aperçoit alors, se détachant de rochers épars, une silhouette brune dansant dans l’espace en se rapprochant. Tenant une sagaie. Les nuages de poussière soulevés masquent sa route.

            Dans l’air lourd et suffocant, l’homme pose son chapeau sur la selle et s’avance vers lui. De cinq pas. Aucun souffle ne vient sécher la transpiration roulant à ses tempes.

 

            Un pagne. Quelques plumes, le regard dur et droit, le corps enduit et le visage orné de peintures primitives, il s’arrête. Se faisant face. Ses cheveux semblent collés de rouge, de terre.

            D’un mouvement fluide, il plante sa sagaie au sol, près d’eux. Puis il détache habilement de son torse un objet en bois ovale, pendu à une corde, le fait tournoyer et… le bruit résonne dans la plaine aride. A travers les roches. A travers les arbustes secs. A travers l’épaisse chaleur.

            Il s’adresse ensuite à lui, dans la langue ancienne de son peuple.

           

            L’homme écoute attentivement. Il sait l’honneur qui lui est fait.

            Il apprend alors ce que sera, en cette terre et selon les croyances d’ici, le chemin de ses rêves.

 

 

...

 

- LE MONDE est SOURD

 

extrait :

Prologue

 

                                                                                                                         Savoie, Chambéry, 2005.

 

 

            Dans le Parc de la ville, ce matin là, des enfants jouent ensemble dans le froid de novembre. Ils voient passer une femme, d'un pas pressé, créant de petites écharpes de buées dues à la température. Une autre personne la rattrape.

            Les enfants regardent alors ce couple, attirés par le seul mouvement du lieu. Ils observent. Sentant sûrement se préparer quelque chose de différent, comme seule leur âme encore pure le devine.

L'homme retient la jeune femme, la retournant vers lui, et alors... une chose se passe. Une chose extraordinaire. Les enfants, bouches bée, contemplent les mains de cet homme. Entièrement émerveillés. Elles bougent ; elles... dansent. Dans les airs, devant lui.

            Sans rien perdre de ce ballet fantastique, ils se figent et tous, invariablement, captent ce qui se passe à quelques mètres d'eux.

            La femme se plante face à l'homme, forme des nuages vaporeux portant ses mots puis... ses lèvres se referment et ses bras se soulèvent, ses poignets se placent devant elle... Ses mains dansent à leur tour. Le silence retombe, accompagnant les fragiles flocons jusqu'au sol, tel un rideau sur une scène imaginaire.-

           

            Un peu plus tard, les adultes passant par-là peuvent constater que les bambins ont tous le même symptôme : ils copient entre eux les gestes happés et enregistrés par leur curiosité, s'amusant de ces danses légères de leurs doigts agiles, voletant entre les bulles de neige. Se transmettant, l’un à l’autre, dans une ronde infinie, le secret de leur joie.

 

            Mais comme tout ballet, ces danses ne sont en rien dues au hasard. Elles sont soumises à des règles strictes et rigoureuses, des codes précieux, permettant ainsi aux mains qui s’y livrent sans retenue de se comprendre et de se synchroniser entre elles. D'appartenir au même monde : celui des chorégraphies aériennes et fantomatiques, des voyages discrets, où la beauté du mouvement sans même la compréhension suffit à nous ravir.

            Seul monde où nul n’est besoin que de l'œil pour saisir l'essentiel. Sans aucun autre sens nécessaire.

 

Les enfants oublieront-ils ??

Quelque part dans leur mémoire, ils se souviendront un jour de ces gestes les ayant enchantés enfants. Ils sauront alors, comme trop peu d’entre eux, qu’un autre langage existe. Une langue magique de gestes légers se perdant, éphémères, dans le vent. Ils auront cette connaissance, ce savoir : une autre langue se peut.

La langue merveilleuse des mains.

 

 

 

et surement :

 

- SI LES PIERRES M'ETAIENT CONTEES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Extraits sur demande pour les curieux...!

Poèmes, décembre 2018

MOTS de COFFRE

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Marchons un instant. Dans l'élément de la TERRE.

Marchons dans ces poèmes.

Dans leurs plus beaux éclats comme dans leurs terribles noirceurs.


Ils ont été cachés longtemps, préservés du monde. Les voici timides, à la lumière de votre curiosité.

Réveillez-les de votre lecture.


Puis, laissons-les s’envoler au loin.

***

1ERE Publication sous le signe de l'élément TERRE.

Disponible en format Broché et Kindle sur Amazon.

Pour obtenir un exemplaire dédicacé, me le précommander par mail.

Récit familial

LA VIGNE DE MON PERE, 2014

Biographie familiale :

 

Ce récit relate, en suivant les pas de mon arrière grand-père, l'histoire de notre famille. Et la force et le caractère que nous tenons ancré en nous, de générations en générations. Nous nous adaptons incroyablement !

 

En deux parties :

1- Des sourires et des larmes

2- Le temps des vendanges

 

Nous retraçons l'époque des guerres, les conditions de vies et conséquences sur la population Italienne et Française. Ainsi que des petites anecdotes et la vision d'une grand-mère soucieuse de l'avenir de ses petits enfants.

Ayant été institutrice entre autre, Marguerite TONICELLO tenait à nous laisser une trace de notre Histoire. Comme nous le lui avions promis, cela sera transposé en livre ; dans le but premier de garder mémoire et de donner accès à cette mine d'informations aux différentes branches familiales disséminées un peu partout dans le monde !

 

Version papier CopyMédia disponnible actuellement !pour 15 euros

Version pdf/Mopi/Format tablette sur demande, et sur Copymedia.net

 

 

Ci-joint la 1ère et 4ème de couverture définitive :

PIERRE D'ECOSSE, 2009

 

Roman publié en 2009 ; 2 Tomes formant un seul livre de 871 pages.

Version pdf/Mopi/Format tablette sur :

- Piluke.com

- Copymedia.net

- Et sur Amazon.fr en format broché ou kindle !

RESUME :

 

« Les mots sont importants. Les mots sont essentiels à la vie.

A la vie de ceux que la Vie a cherché à détruire. De lâchement faire taire.

Les mots détiennent des Histoires. Et ils ne les perdent pas.

Jamais.

 

Les premiers mots d’une histoire. Simple. Le moment est sans importance, car le temps ne fait que se répéter. Et tout commence invariablement par un voyage.

Quand ne commande-t-on plus à notre vie ? A son souffle ? A nos pas… ?

Un voyage.

 

Une jeune femme raconte son Histoire, vivant pleinement chaque instant auquel elle  a droit. Car elle a appris : l’horreur veille, toujours. Y a-t-il moyen de la retarder ?

S’enfuir, « en avant », entre l’Europe et ses mers, vers la mystérieuse terre des Scots.

Irrémédiablement attirée par l’Ecosse, par la vie ; mais par quel fantôme ?

Sans contrôle aucun, la brume l’emmène à elle. L’emmène à découvrir.

Se révèle alors l’essence de toute vie.

Mais quelles sont nos limites profondes, et comment en vient-on à les dépasser ?

Un Ange va changer toute la direction de sa vie. Pour lui, elle se battra contre la dure vérité de la maladie ; ce mal qui, sans véritable calcul, ronge sans y penser sa proie. Sans rien masquer, cette femme déroule ses choix et leurs conséquences, tout devenant possible pour peu que l’on ait la force d’y croire.

Le lecteur fait, pour elle, partie de l’histoire. Sinon, comment l’histoire vivrait-elle ?

Repliée sur elle-même, sur le coin poussiéreux d’une étagère ?

 

Elle nous apprend qu’il faut des fois s’arrêter de courir, regarder le clapotis des vagues calmement, s’assoir sur une pierre et attendre. Sans penser à rien. Attendre ; la pluie. La vie.

La Vie.

Quelques mots pour faire la Lumière sur ce que vous entreprenez de lire. Très bon voyage en cette histoire, où l’on marche patiemment en écoutant la nature gronder et s’épanouir.

 

Davantage de mots pour davantage de rêves. L’important sont ceux qui restent ».

 

 

AUTEURE :

 

Née à Toulouse, Aurore Oudard a résidé dans plusieurs régions de l’hexagone et divers pays du globe.

Suite à un voyage en Ecosse, à la vue de ses paysages mystérieux et mélancoliques, à l’atmosphère troublante de sa nature, l’envie d’écrire s’est imposée à elle.

Et les personnages sont nés.

 

Parallèlement diplômée en Psychologie, en Sciences de l’Education et de la Formation, et en Langue des Signes Français, elle s’épanouie professionnellement.

Mais son envie d’écrire demeure...

Pour se mettre dans l'ambiance...

  

EK

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